Il existe très peu de données sur la pollution de l’air et ses effets sanitaires au Mali . Selon l’OMS, 9 personnes sur 10 respirent de l’air pollué. Cette pollution cause 7 millions de décès par an dans le monde dont plus de la moitié est due à la pollution intérieure    Une étude récente (2022), a démontré que les habitants de Bamako sont exposés à une forte pollution de particules fines avec un diamètre inférieur ou égale à 2.5 micromètres (PM2.5). Cette pollution provient non seulement du transport mais aussi des activités quotidiennes au sein des ménages. Ceux-ci inclus l’utilisation des combustibles fossiles dont le bois et le charbon et la combustion de produits comme les insecticides et l’encens. Selon cette même étude, le niveau d’exposition des habitants de Bamako était approximativement 3 fois supérieures aux normes d’exposition journaliers recommandées par l’OMS pour des raisons sanitaires.

Pour pallier à cette pollution de l’air, une collaboration entre les organisations et institutions, comme les instituts de recherche et ceux chargés de météorologie est essentielle. Cela nous permettra d’avoir une meilleure compréhension des phénomènes locaux, et, par la suite élaborer des stratégies d’atténuation efficaces.

Pollution de lair

Il existe très peu de données sur la pollution de l’air et ses effets sanitaires au Mali . Selon l’OMS, 9 personnes sur 10 respirent de l’air pollué. Cette pollution cause 7 millions de décès par an dans le monde dont plus de la moitié est due à la pollution intérieure    Une étude récente (2022), a démontré que les habitants de Bamako sont exposés à une forte pollution de particules fines avec un diamètre inférieur ou égale à 2.5 micromètres (PM2.5). Cette pollution provient non seulement du transport mais aussi des activités quotidiennes au sein des ménages. Ceux-ci inclus l’utilisation des combustibles fossiles dont le bois et le charbon et la combustion de produits comme les insecticides et l’encens. Selon cette même étude, le niveau d’exposition des habitants de Bamako était approximativement 3 fois supérieures aux normes d’exposition journaliers recommandées par l’OMS pour des raisons sanitaires.

Pour pallier à cette pollution de l’air, une collaboration entre les organisations et institutions, comme les instituts de recherche et ceux chargés de météorologie est essentielle. Cela nous permettra d’avoir une meilleure compréhension des phénomènes locaux, et, par la suite élaborer des stratégies d’atténuation efficaces.